mercredi 29 février 2012



Le 29 fév.2012
Debout à 5.30 heures quelques poignées de mains aux lèvent tôt et départ à 6 hrs, nous suivons Alain avec son gros motorisé pour sortir de Zihuatanejo puis le doublons lorsqu’il fait un arrêt dans un Pemex. L’ autoroute est très belle, rien d’ extraordinaire mais pas de trous ni de roulières comme si souvent au Québec.



La monté se fait première classe, nous atteignons le 2500 m. sans problème. Nous voulons arrêter à Patzcuaro pour visiter mais la batterie du moteur rends l’ âme nous décidons de continuer jusqu’à Morelia pour en acheter une chez Wal-Mart pour avoir la garanti au Québec. En entrant dans la ville je sens que la transmission veut faire des sienne. Je file chez Wal-Mart, il était temps, je ne peux plus avancer.
Je constate que nous avons perdu de l’huile mais très difficile de trouver par où. Je me couche encore une fois en dessous, enlève le protecteur, il en manque deux litres et demis que je rajoute. Mais d’ où vient la fuite? Je regarde avec la lampe de poche, l’ huile semble venir du dessus de la transmission. Je demande à Denise de mettre l’ auto en marche, de la mettre sur le D et de la faire forcer. L’ huile semble venir du bloc de la transmission, j’ ai peur à un fissure. Après une autre demi heure de recherche, en manque d’ idée je décide d’ enlever un des boyaux que les spécialistes de transmission avaient installé à Villahermosa, surprise le boyau est en train de se dédoubler par en arrière donc non visible de mon point de vu.

Heureusement j’ avais conservé les anciens de nôtre première mésaventure. J’en ai réinstallé un et nous voila reparti.
Nous avions demandé aux garagistes de Villahermosa pourquoi ils tenaient tant à installer de nouveaux boyau donc nous avions pas confiance. Ils nous avaient répondu que les anciens n’ étaient pas bons et que les nouveaux étaient meilleures mais nous étions rester inquiet. Les premiers étaient excellents c’ est les collaient qui avaient été mal serrés.
Nous espérons que c’ est le dernier pépin surtout qu’ ils sont causés non pas par des déficiences mécanique mais par des manque de compétence de certains mécaniciens.
 

Ce soir nous couchons à Morelia, demain nous prenons la route vers San Miguel de Alende et San Luis Potosi. 




Le 28 fév. 2012
Le retour
Demain nous quittons nôtre petit coin du Mexique, Zihuatanejo, où nous avons passé un peu plus de deux mois. Nous y avons vécu de très bons moments, rencontré des Québécois(ses) sympathiques, pris de longues marches dans le village, dans la montagne ou sur la plage et toujours en toute sécurité.
La plage et la mer vont nous manquer car nous allons nous enfoncer dans les terres et monter à deux milles mètres d’ altitude sur un plateau avant de redescendre sur le côte Est du Mexique et franchir les lignes à Reynosa Mexique et McAllen U.S.A.
une distance d’ environ 1600 km.
Si la transmission fonctionnent bien nous allons nous attarder quelques jours pour visiter quelques petits villages sur nôtre route.

La température  beaucoup plus fraiche dans les montagnes devrait donner une chance à la mécanique.
Nous espérons pouvoir avoir accès à internet sur nôtre route mais si nous sommes silencieux ne vous inquiétez pas, nous referons bientôt surface.


Mais avant de quitter laissez moi partager avec vous quelques photos.


Très belle  fleur d' un arbre rare et protégé






aguiseur de couteaux, remarqué son invention


Le blé-dinde rotis


Café Mexicain (Espagnole)


Dernier soupé avec Jacques et Céline Le 28 fév. 2012

vendredi 24 février 2012



Le 24 fév. 2012

Ce matin je suis allé rendre visite à quelques condos et appartements dans la montagne pour écornifler et prendre quelques photos.

La plus part sont magnifiques avec une belle vu sur la mer, mais ça monte comme dans la face d’ un singe pour y parvenir.





Intra West en bas


Un petit peu plus loins.


La Casa Que Ve Al Mare







mardi 21 février 2012




Le 21 fév. 2012
Nôtre balade dominicale de la fin de semaine nous a amené comme d’ habitude au centre ville de Zihuatanejo. Qu’ elle belle petite ville, je dis petite mais la population est d’ environ 60,000 habitants.

«Zihuatanejo fut d'abord un port d'attache pour quelques pêcheurs et leurs familles, petit village traditionnel qui ne comptait pas plus de 300 habitants en 1946 ! Cette ville conserve une atmosphère chaleureuse et garde ses coutumes et tout son charme. Les constructions présentent l'apparence typique des côtes tropicales mexicaines et aucun immeuble de plus de 5 étages n'a été édifié, ce qui préserve le village d'une trop grande affluence touristique. Zihuatanejo est réputé pour sa bonne pêche et ses restaurants comme sur le Paseo del Pescador. La plage située devant la ville est d'une grande clarté et tranquillité.
Playa Larga, une très longue plage proche de Zihuatanejo

Ixtapa et Zihuatanejo forment aujourd'hui une population totale de 90 000 habitants environ. Elles offrent une ambiance ainsi qu'un style différent, et vous pourrez y passer des moments agréables et inoubliables grâce à un ensoleillement presque permanent. En effet, mis à part les villes, se trouvent aussi des fabuleuses plages aux alentours ( playa ropa , troncones... ).»

La proximité que nous pouvons vivre avec les Mexicains est vraiment remarquable, comme j’ ai déjà dit nous nous mêlons avec eux dans les marchés publique et sur la rue comme si nous faisions parti du décor. Peut être que nôtre couleur de peau commence à nous permettre de nous confondre avec eux. Ha! Ha!



Pour nous rendre au centre ville nous devons parcourir environs un kl. sur la plage et un autre en franchissant une montagne tout en suivant le bord de la mer, de luxueux condos et hôtels sont construits de chaque coté.





Sur nôtre gauche entre les constructions nous pouvons voir la mer, la baie avec ses voiliers à l’ ancre, le quai municipale et une magnifique plage où des gens se la coule douce. Il est difficile de ne pas prendre de photos chaque fois que l’ on franchi cette endroit.


Denise a acheté du tissus pour un paquet de choses à un prix ridicule et sans négociation.

Pour agrémenter le tout, nous avons dégustés deux belles brochettes dans un petit restaurant sur le bord de la mer, les pieds dans le sable avant de parcourir le chemin à l‘ inverse.



Ces enfants n' ont pas besoins de mille et un gadget pour s' amuser, un petit coin de trottoir et de l' imagination.
Petits et grands aiment jouer dans la boue.
Le retour

jeudi 16 février 2012




Le 16 fév.2012

Ce matin, trois petits campeurs semblables au nôtre avec nos nouveaux amis à bord, ont pliés bagages pour poursuivre leur route. Ils vont visiter tous les villes et villages intéressants le long de leur retour vers le Québec. D’ autres vont les remplacer qui serons aussi sur leur chemin de retour.
André, Robert et Joceline


Michel et Lise


Robert, Denise, André, Joceline, Michel et Lise
Nous autres nous pensons quitter vers le premier mars et faire un arrêt d’ un mois au Texas.

 
Hier j’ ai été faire une grande marche avec Robert un voisin bon marcheur.




Robert

Nous avons été découvrir un autre coins du pays en franchissant la montagne pour retrouver la mer de l’ autre côté, une marche d‘ environ trois heures. J’ ai ramené quatre Bernard l’ Ermite, pris des photos d’ un groupe d’ oiseaux charognards et la tête pleine de beaux souvenirs.







dimanche 12 février 2012



Le 12 fév. 2012

Depuis quelques jours le ciel est plus nuageux même qu’ hier nous avons eu une pluie fine toute la journée, le sol en avait grandemant besoins. La température reste au alentour de 30 le jour ce qui nous empêche pas de prendre des marches et de jouer à la pétanque.

Ce matin nous sommes allé faire un tour en ville pour faire du magasinage et pour aller flâner au marché publique. C’ est une excellente occasion de côtoyer les gens de la place et de voir leur façon de vivre. Ils sont toujours aussi gentils, ils nous prêtent aucune attention sinon pour répondre à nos salutations si nous prenons le temps de les saluer en premier. Le mois de mars sera un mois de festival, ils l‘ annoncent partout.

                       Bonne St Valentin à vous tous XXXX


Le camping


Belle petite pente pour ce rendre en ville


Le marché


Le gros boudin c' est des oeufs de poisson


Un autre filet


Les poulets sont jaunes, surprenant il n' y a presque pas de mouches.


L' annonce pour le carnaval de Mars

lundi 6 février 2012





Le 06 fév. 2012

Ce matin j’ ai été faire une longue marche dans les alentours, une  route construite en 2009 sur deux km. monte dans la montagne mais aboutie sur des trails à pieds. La route est large, toute en béton avec de larges trottoirs et de belle fleurs par endroit. Surement un riche propriétaire la fait construire par le gouvernement pour vendre des terrains mais ses terrains sont loin de la mer et pas de plage dans les environs. Nous retrouvons trop souvent ce phénomène au Mexique alors que certaines routes où circules des milliers de voitures sont en mauvaises état.









Un cocon de ?




Une recontre inattendue un coatimundi
Apparence et morphologie[modifier]

Coati à nez blanc sur les pentes du volcan Arenal au Costa Rica
Le coati à nez blanc a le gabarit d'un gros chat ; il pèse 3,7 kg en moyenne. Il porte une longue queue annelée qui représente plus de la moitié de sa taille globale. La truffe de son long nez est mobile et lui sert à fouiller. Sa fourrure est assez épaisse et rèche au toucher, avec un sous-poil plus clair. Les marques blanc laiteux qui le distinguent des autres coatis sont présentes autour du nez, mais aussi des yeux (comme des lunettes). Par ailleurs, de petits cercles de même couleur marquent ses joues. Son poitrail est également clair, de même que son ventre. Le reste du corps est brun-roux sur le dessus, les pattes et les côtés étant noir mêlé de blanc. Ses yeux sont noirs et vifs. Il possède 4 canines longues et acérées. Ses pattes sont armées de griffes non rétractiles qui lui servent à grimper aux arbres et gratter le sol. Grâce à toute ces capacités le Coati est souvent classé dans le top 5 du classement animalier du magazine Wapiti, le Coati stagne à la troisième position depuis plus d'un an.

Comportement[modifier]

Les Coati femelle vivent en groupe toute l'année tandis que les Coati mâles sont des solitaires. L'ensemble de l'espèce se retrouve tous les six mois pour la reproduction. Le coati pousse alors de longs cris stridents pour attirer son futur partenaire.

Alimentation[modifier]

Il est omnivore, appréciant les petits vertébrés, les fruits, les charognes, les insectes et les œufs. Il peut facilement grimper aux arbres, où la queue est utilisée pour l'équilibre, mais il recherche le plus souvent sa nourriture sur le sol. Ses prédateurs sont les boas, les rapaces, les félins, et les martres à tête grise (tolomucos).

Comportement social[modifier]


Le coati à nez blanc descend des arbres la tête la première (Zoo de Philadelphie)
D'un naturel curieux, le coati approche des maisons et n'hésite pas à venir visiter les poubelles. Amical, il peut se laisser approcher, voire toucher. Toutefois, son audace lui vaut souvent d'être chassé par les habitants. Il peut être domestiqué facilement et on a vérifié expérimentalement qu'il était très intelligent.

Reproduction[modifier]

Les portées, chez cette espèce, comptent en moyenne 4 ou 5 petits, qui naissent après environ 2 mois de gestation. Les petits pèsent en moyenne 140 g à la naissance. Ils atteindront leur taille adulte vers 14 ou 15 mois, mais ne seront mûrs sexuellement qu'à partir d'environ 2 ans. Le record actuel de longévité pour cette espèce a été atteint par un individu en captivité, qui a dépassé 26 ans[2]